Une mauvaise réponse à une bonne question. La décision du président de la République, annoncée, mercredi 13 février, lors du dîner annuel du Conseil représentatif des institutions juives de France (CRIF), de "confier à chaque élève de CM2 la mémoire d'un enfant français victime de la Shoah", suscite la perplexité, des interrogations, voire de l'hostilité chez les historiens, les psychologues ou les pédagogues. Cette décision, visiblement prise sans concertation, embarrasse même une partie de la communauté juive.
Sarkozy : "On ne traumatise pas les enfants" avec un "cadeau de la mé…